de cette histoire pouvait faire bouger la plainte, et pour cela je vous remercie.». Sur Facebook, la victime a partagé sa rage et détaillé l'agression dont elle se dit victime. «Tous en short, liberté, respecte-moi pouvait-on lire sur leurs pancartes. Oui, je n'ai pas mentionné volontairement «lorigine» de mes agresseurs - «elles étaient françaises, et je me fiche royalement de savoir de quelle ethnie ou de quelle religion elles provenaient» - explique-t-elle dans les grandes lignes. Au total, d'après l'AFP, une centaine de manifestants - hommes et femmes confondus - ont défilé vêtus pour la plupart de shorts dans les rues de Toulon.